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Entre Ciel et Terre

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Entre Ciel et Terre
17 août 2011

LIBAN : TSL

Finis les Biscuits aux chocolats…

Le Tribunal spécial pour le Liban (TSL) a confirmé et rendu public mercredi, aujourd’hui, le 17 Aout 2011, l'acte d'accusation contre les quatre membres du Hezbollah inculpés dans le cadre de l'enquête sur l'assassinat en 2005 de l'ex-Premier ministre Rafic Hariri.

Salim Ayyash, 47 ans, Moustafa Badreddine, 50 ans, Hussein Oneissi , 37 ans, et Assad Sabra, 34 ans, tous membres du Hezbollah, sont soupçonnés d'être responsables de l'attentat à la camionnette piégée qui a provoqué la mort de Rafic Hariri et de 22 autres personnes à Beyrouth le 14 février 2005. Visés dans l'acte d'accusation déposé le 17 janvier par le procureur Bellemare et qui avait été partiellement confirmé en juin, les quatre hommes font l'objet de mandats d'arrêt émis par le TSL et d'une "notice rouge" émise par Interpol. Le 11 août, le président du TSL, Antonio Cassese, les avait invités dans une lettre ouverte à comparaître devant le tribunal, indiquant que "leur participation active à la procédure demeure la meilleure garantie d’un procès juste et équitable".

 

 

ACCUSÉS

 

MUSTAFA AMINE BADREDDINE
Né le 6 avril 1961 à Al-Ghobeiry, Beyrouth (Liban).

 

SALIM JAMIL AYYASH,
Né le 10 novembre 1963 à Harouf (Liban).

 

HUSSEIN HASSAN ONEISSI,
Né le 11 février 1974 à Beyrouth (Liban)

 

ASSAD HASSAN SABRA,
Né le 15 octobre 1976 à Beyrouth (Liban).

 

Pour tout comprendre : http://www.scribd.com/STLebanon

 

 

 

 

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29 janvier 2011

Rubens Bouchabké se distingue aux Pays-Bas

 

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Rubens brandissant fièrement le drapeau libanais lors de la remise des prix sur le podium.

Karting

 

Par moins de trois degrés et sur un circuit extrêmement glissant, le jeune pilote libanais de kart, Rubens Bouchabké, à peine âgé de 9 ans, a réalisé une performance de premier choix en arrachant la deuxième place derrière le Néerlandais Dlan Buys, lors du Chrono Dutch Winter Series, une course européenne qui s'est déroulée sur le célèbre circuit de Lansard, à Eindhoven, aux Pays-Bas, avec la participation de plusieurs pilotes venant de Belgique, Hollande, Pologne et Russie.
La prestation de Rubens est d'autant plus méritoire que le champion libanais a réussi également à damer le pion aux autres pilotes, dont la plupart sont beaucoup plus expérimentés, en effectuant le meilleur tour en course en 1 minute 6'665''.

 

7 décembre 2010

LIBAN: Feux de forêts


 

Risques de catastrophes naturelles et de désastres : mieux vaut être préparé

 

 

Par Suzanne BAAKLINI | 07/12/2010

Les incendies consument chaque année des surfaces boisées importantes. Photo Michel Hallak

 

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Coopération Subir les conséquences des catastrophes naturelles et des désastres de tous genres n'est pas une fatalité. Un plan est actuellement préparé par une unité spéciale reliée à la présidence du Conseil des ministres et des organisations internationales, avec pour objectif une meilleure préparation aux pires éventualités.

Tremblements de terre, inondations, feux de forêts, glissements de terrains, accidents climatiques, désordres civils... Le Liban est exposé à tous ces dangers, mais à quel point sa population y est-elle préparée? Qui saurait, par exemple, quelles sont les réactions de survie en cas de séisme majeur? Autant la population que les autorités se trouvent désemparées en cas de sinistres. La catastrophe aérienne du Boeing d'Ethiopian Airlines au large des côtes libanaises le 25 janvier dernier, qui a fait une centaine de morts dont plus de 50 Libanais, a montré un évident problème de coordination entre les différents acteurs appelés à intervenir en pareil cas. Une grande question avait surgi alors : comment faire face à des catastrophes majeures et faut-il une institution spécialisée pour la gestion des risques ?
Parmi les efforts fournis pour remédier à cette situation, il existe un plan actuellement préparé par une unité de gestion des risques directement reliée à la présidence du Conseil des ministres, en collaboration avec le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) et le bureau de l'Agence suisse pour le développement et la coopération (SDC) au Liban. Céline Moyroud, conseillère pour la prévention de crises et pour la reprise au PNUD, et Ivan Vuarambon, chef du bureau de SDC au Liban, expliquent à L'Orient-Le Jour que ce plan consiste à examiner la situation présente, à identifier toutes les institutions concernées et tous les risques encourus par le Liban, afin de contribuer à mettre en place une structure qui pourra faire face à d'éventuelles catastrophes. «Des études préalables nous ont montré que renforcer la coordination au sein de la présidence du Conseil des ministres est un axe à explorer, parce que celle-ci peut assurer une coordination efficace au niveau de tous les ministères», disent-ils.

 

 

 

Ils ajoutent que ce plan énumérera tous les risques et toutes les vulnérabilités, dont certaines propres à des régions (la Békaa est particulièrement vulnérable aux inondations, par exemple), et apportera des réponses à toutes les éventualités. Le plan comportera en détails les mesures à prendre en cas de feux de forêts, les réflexes à avoir en cas de tremblement de terre et les actions de sauvetage à entreprendre... le tout basé sur la géographie du pays et les institutions en place. Le plan devra répondre à des questions pratiques telles que celles-ci: en cas de séisme majeur, l'aéroport continuera-t-il à fonctionner? Sera-t-il possible d'acheminer les aides dans les régions touchées? Le Liban dispose-t-il des équipements nécessaires pour le sauvetage? Comment assurer la distribution d'eau dans des conditions extrêmes?
«Il y aura même, dans le plan, les conditions à remplir en cas d'affluence de l'aide étrangère, afin de s'assurer de son efficacité, ajoutent Céline Moyroud et Ivan Vuarambon. Outre les mesures à prendre dans les cas d'urgences, nous nous attaquons aussi à certains aspects pratiques dans les lois, comme la nécessité d'appliquer les mesures antisismiques dans le code de la construction. En bref, il s'agit de mettre en avant le fait que mieux on est préparé, moins on subira des décès et des dégâts
économiques.»
La mise en place de ce plan a commencé cette année, en 2010, et devrait durer jusqu'en 2012. Le projet bénéficie d'un budget de 800000 dollars assuré par le PNUD, le SDC et le gouvernement libanais. L'unité de gestion des risques rattachée au Conseil des ministres est pour sa part temporaire, son principal objectif étant de mettre en place un système qui fonctionnerait efficacement en cas de
catastrophe.
Serait-il nécessaire de créer une institution permanente de gestion des risques comme l'ont réclamé plus d'un homme politique après la débâcle qui a suivi la catastrophe aérienne au large du Liban? «Renforcer les institutions existantes et développer leurs prérogatives peut s'avérer plus efficace que créer une nouvelle institution qui viendrait s'ajouter aux autres, souligne Ivan Vuarambon. L'important est de mettre en place un système qui fonctionne.»

Une question de culture
Quelles sont les difficultés identifiées par les organisations internationales dans la préparation de ce plan avec les autorités libanaises? «La réduction des risques est une culture qu'il faut inculquer à la population, et ce n'est pas le cas actuellement au Liban, répond Ivan Vuarambon. C'est le problème le plus grave selon nous. Il faut procéder à davantage de sensibilisation pour convaincre les habitants de la nécessité de prendre des précautions. C'est un travail de longue haleine qui n'est pas très populaire. Beaucoup seraient tentés de nous demander pourquoi il est utile d'investir dans des précautions pour un risque qui leur paraît virtuel. Notre argument est qu'un tel investissement est très rentable, vu les dégâts que peut causer une seule catastrophe majeure.»
Céline Moyroud identifie un autre problème souvent rencontré par le PNUD: le manque de données disponibles. «Nous manquons d'informations sur les risques encourus par le Liban et sur les types de vulnérabilités, dit-elle. Pour l'instant, nous rassemblons ce qui est disponible. Nous collaborons avec certaines institutions comme le Conseil national de la recherche scientifique (CNRS), les universités, les administrations publiques concernées... Nous arrivons à identifier aussi les lacunes. Il existe, par exemple, trop peu d'études effectuées sur les risques d'inondations au Liban.»
Mais le travail ne comporte pas que des difficultés. Le pays a des atouts qu'il faut savoir explorer. «Au Liban, le principal support sur lequel nous pouvons nous appuyer est l'extraordinaire résilience de la population, souligne Ivan Vuarambon. Les Libanais ont acquis une capacité de gérer des problèmes, comme le manque d'eau par exemple, la difficulté de circuler, etc. Il y a également des institutions locales très efficaces et très professionnelles sur lesquelles il est possible de compter, comme la Croix-Rouge libanaise (CRL).»
Céline Moyroud rend hommage au fait que « le gouvernement libanais a dorénavant la conviction de la nécessité de préparer le pays à une éventualité de crise majeure», une condition sine qua non pour progresser dans ce domaine.
Ils rappellent tous deux que la réaction libanaise à des catastrophes récentes de par le monde dénote une conscience accrue des dangers que court le pays. «Les Libanais ont envoyé des aides en Haïti après le tremblement de terre dévastateur, et au Pakistan après les inondations meurtrières, disent-ils. Ils ont été choqués par l'ampleur de ces catastrophes, ça les a fait réfléchir sur ce qui pourrait se passer chez eux en pareil cas.»
Autant Ivan Vuarambon que Céline Moyroud reconnaissent que le domaine de la prévention est très complexe puisqu'il touche à la formation des personnes autant qu'au développement de la partie institutionnelle, afin que la gestion des risques puisse se faire de manière cohérente et coordonnée le moment venu. «Le système de coordination des actions devrait être mis en place d'ici à un an, mais le travail de sensibilisation prend, pour sa part, beaucoup plus de temps», précisent-ils.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

15 octobre 2010

Quand Transport Rime avec Chaos.

Il n'aura fallu qu'une nuit  de  pluie pour que le Liban se retrouve paralysé par les eaux, la semaine dernière, ses principales voies de circulation transformées en véritable chaos d’embouteillages monstres, bloquant des pans entiers de routes. 

Embouteillages, accidents de route, frais de transport, stationnement en double file, pollution, dépassements de vitesse, feux rouges grillés, couloirs de bus empruntés, tels sont quelques-uns des problèmes urbains qui existent dans ce pays où il fait bon de circuler la nuit, où le parc automobile, marqueur très significatif et très précis, des voitures de luxe et de  4*4, disparaît en un clin d’œil.

 

Ce jeune conducteur accroc de  voitures et de vitesse, et qui par défaut d’application des lois,  conduit sans avoir un permis et malheureusement à grande vitesse ?

Ce conducteur qui se permet de faire de la vitesse, sans aucune maîtrise de la conduite, ne respectant aucun code de la route, voire le  plus banale celui de s’arrêter aux feux rouges, existants, mais timides dans notre pays ? Cet autre conducteur, qui si un piéton s’apprête à traverser la rue, devrait évidemment s’arrêter par règles de la courtoisie, mais ne le fait pas sous prétexte d’être en retard. 

Ce conducteur qui ne garde que les mauvaises habitudes de ses parents, «  victimes de la guerre »,  qui ne l’ont jamais  éduqué, à sa propre sécurité et ceux qui l’accompagnent dans la voiture ? Tout en oubliant que la guerre est terminée, et qu’il faut arrêter de se permettre d’être « illettrés » en rejetant la faute au passé, cependant, le fait de responsabiliser les libanais pour qu'ils arrêtent de se comporter en moutons irresponsables, serait plus intelligent. 

Qui en est responsable ? L’État? Les responsables de la circulation, polices gendarmes et ce qui suit, c'est vrai que le citoyen reste le grand responsable, mais ce citoyen a été toujours éduqué de manière à ne pas respecter ce code, un exemple très simple que vous pouvez voir tous les jours, c'est le policier sur sa moto sans casque qui vient d'arrêter un citoyen conduisant une moto, sous motif que ce dernier ne porte pas de casque, un autre scénario qu’on voit souvent c'est au feu rouge, les automobilistes entrain d'attendre le feu vert quand vient de derrière une voiture "civile" conduite par un policier avec son uniforme qui donne un grand klaxon à son collègue qui surveille les feux, brûle le feu rouge et part, plusieurs scénarios pareils se répètent chaque jour, chaque heure et chaque minute, comment vous voulez que des citoyens libanais, n'essaient pas de faire de même ou plus quand le policier ou le gendarme n'est pas là? 

Cet État qui permet aux ingénieurs ingénieux qui pour quelques pots-de-vin, détournent les virages sur les routes pour subvenir aux besoins des propriétaires des
terrains ? Encore mieux, qui commencent des travaux sans jamais les terminer, ne respectant nullement les délais prévus, mettant  des poteaux au beau milieu des routes ?

Cet État, qui a donné  l’ordre,  depuis l’année  1995 de couper la voie ferrée en raison de travaux routiers, laissant muet le sifflement du train, symbole de résurrection et de   développement  de toute nation ? Couper ? Non seulement, il n'y a pratiquement plus aucune infrastructure de transport en commun au Liban. L’âme du chemin de fer souffre,  et les dépôts des locomotives  sont  laissés à l’abandon. Le transport par rail offre des avantages incontestables, sur l’environnement en réduisant la pollution mais également le  transport par rail permet une grande capacité de transport pour un encombrement faible, un atout particulièrement avantageux dans les zones fortement urbanisées, comme le Liban,  sans négliger le fait que l’infrastructure ferroviaire est plus respectueuse des paysages que les autoroutes…Même un petit gamin de 7 ans serait d’accord là dessus.

Tout de même, ce n’est pas par hasard que  les statistiques des accidentés de voitures sur les routes libanaises s’accroit d’années en années, pour passer de 5883 cas en 2002, jusqu'à 10649 cas en 2009, selon la croix rouge libanaise, sans mentionner, le nombre d’accidents non enregistrés dont  le caractère  s’avère « non grave ».

Dans ce contexte, Il ne s’agit plus, uniquement  d’un sous développement des moyens de transports, mais d’une recrudescence de barbarie, de manque d’étiques, et de civilisation.

Ce citoyen libanais qui a résisté  aux guerres, devrait refuser de   mourir banalement, prendre ses responsabilités, vis-à-vis de ses enfants, et commencer par une éducation routière saine. Ce n’est pas, par crainte de payer une amende qu’un être ne devrait s’interdire de passer en sens inverse, qu’il ne devrait pas mettre son casque, ou ne pas consommer de l’alcool avant de prendre le volant, ce n’est pas par peur d’être retenu, qu’il faudrait qu’il  incite son enfant à rester à l’arrière, dans son siège, bien attaché dans sa ceinture...de sécurité justement.

Ce même libanais, devient citoyen modèle, dans un pays étranger, où les lois s’appliquent, où le gouvernement s’offre  garant de compléter les dispositifs de sécurité, en installant la  séparation entre les voies sur les routes principales, où l’éclairage routier n’est pas une coïncidence, où s’appuie la volonté du gouvernement de vouloir miser sur un développement accru des services de transport en commun pour désengorger les principales artères du réseau routier et réduire les émissions de gaz à effet de serre, et où les patrouilles de police ayant suivis une formation claire, adéquate, et loin de toute tension politique, ne sont pas l’ une des causes éternels de l’embouteillage, mais  tentent plutôt d’appliquer les sanctions sévères, pour la répression du trafic, avec discernement car force est de constater qu'il n'y a que cela qui fonctionne dans ce pays ou l'irresponsabilité, le narcissisme et l'égocentrisme règnent en maître.

Lutecia Beainy Bouchabke

10 juin 2010

Artists

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Lewis Hine, Photographer
Title, Negative date:

Untitled (Young woman carving wood block), 1910-20s

Medium, Print date:
Gelatin silver print, 1920s-1930s
Notations:
Annotated 177 with the artist's Interpretive Photography stamp on verso.



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Izumi Shinsaku, Photographer

Title, Negative date:
The Shadow, c. 1930s
Medium, Print date:
Gelatin silver print, 1930s
Notations:
Signed and titled in pencil on mount verso


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10 juin 2010

Rubens Bouchabke -Karting

 

Libanês Rubens Bouchabke venceu em Itu

 

4

 

 

O piloto Mirim Rubens Bouchabke foi a Itu, interior de São Paulo, no último domingo (16), disputar a quinta etapa do Campeonato Nova Schin de Kart. Rubens veio ao Brasil com o intuito de participar da sexta etapa da Copa São Paulo de Kart Granja Viana, onde foi o quarto colocado, e também do III GP Brasil de Kart. Entretanto, com o cancelamento do evento, a equipe Claudinho Racing decidiu por realizar a prova do certame regional.

 

Bouchabke, que já conhecia o traçado do Kartódromo Arena Schincariol por ter participado do GP Brasil de 2008, fez excelente tomada de tempos e classificou-se em segundo lugar no grid de largada, atrás apenas do brasiliense João Pedro Guim.

 

Na corrida, a disputa pela liderança ficou restrita apenas aos dois pilotos, que logo distanciaram-se do restante do pelotão. Rubens perseguiu Guim durante a primeira metade da corrida, e depois começou o ataque, visando a vitória.

 

Em uma manobra precisa e arrojada, ultrapassou “por fora” na reta oposta, pouco antes do difícil “S” de alta velocidade. Os dois pilotos alternaram-se na primeira colocação mais três vezes antes da bandeirada final, que Guim recebeu em primeiro lugar.

 

Mas os comissários de prova, muito atentos e bem localizados na pista, identificaram que ambas as ultrapassagens de Guim sobre Bouckabke foram irregulares, uma vez que o brasiliense “apoiou” o kart no monoposto do libanês em ambas as oportunidades, tirando-lhe da trajetória da curva.

 

Com isso, Rubens Bouchabke foi declarado vencedor da etapa, e comemorou muito o feito junto ao pai e à equipe Claudinho Racing, responsável pela preparação do kart. “Viemos ao Brasil com o intuito de fazer boas corridas e ganhar experiência ao competir com pilotos tão bons como os que correm aqui. Felizmente, saímos com ótimos resultados”, comemorou Imad Bouchabke, pai do piloto.

 

Rubens e a família voltam ao Líbano no final desta semana, mas já têm planos de retornar ao Brasil na próxima temporada. “Vamos buscar alguns patrocínios, tanto no Brasil quando no Líbano, para que o Rubens possa fazer o maior número possível de corridas aqui, no ano que vem”, afirmou Imad.

 

 

Libanês Rubens Bouchabke foi quarto colocado na Granja Viana

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Piloto fez excelente prova e subiu ao pódio mais uma vez em pistas brasileiras

É incomum ver pilotos estrangeiros correndo em provas de campeonatos regionais brasileiros, em especial quando o piloto vem de um país tão distante como o Líbano. Mas no último sábado (8), no Kartódromo Internacional Granja Viana, o pequeno Rubens Bouchabke, de apenas oito anos, disputou a sexta etapa do maior certame do país.

O piloto libanês tem nacionalidade brasileira, mas reside com a família em seu país de origem, e desde o ano passado faz algumas viagens ao Brasil para disputar provas por aqui. Foi o caso do GP Brasil de 2008, quando o piloto obteve a quarta colocação na classificação final.

Bouchabke não conhecia o seletivo traçado da Granja Viana e teve apenas alguns dias de treinos livres para se adaptar, o que não foi um problema, já que o piloto tem extrema facilidade em "pegar a mão" das pistas onde corre e teve o importante apoio do preparador Claudinho, da Claudinho Racing.

Na tomada de tempos do sábado, Bouchabke obteve a quarta
melhor marca, mas recebeu um acréscimo de tempo por não ter realizado a prova anterior e, portanto, utilizar pneus novos. Os três décimos de segundo acrescidos o colocaram na sexta colocação no grid de largada.

Após o alinhamento dos karts no grid, a bandeirada foi dada sem a execução da volta de apresentação, o que gerou confusão entre os pilotos. Nesse momento, Rubens foi superado por um adversário, caindo para sétimo.

Em grande recuperação, retomou três posições e fazia tempos de voltas muito bons, mas a distância para os líderes já era grande e não houve como recuperar o tempo perdido nas ultrapassagens. Assim, Bouchabke finalizou em quarto lugar, com grande vantagem para o quinto colocado.

"Ficamos muito felizes com o desempenho do Rubens nessa prova" vibrou Imad Bouchabke, pai do piloto, e complementou "É muito importante para ele correr aqui no Brasil. Em nosso país não existe uma categoria para a idade dele, temos apenas um grupo de três pilotos que correm, mas com autorização especial. No Brasil ele pode desenvolver o talento que tem, disputando com pilotos muito bons e grids cheios."

O próximo desafio do libanês em pistas brasileiras será em Itu, interior de São Paulo, onde participará da quinta etapa do Campeonato Nova Schin de Kart, que será realizada no dia 16 deste mês.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

10 juin 2010

Diaspora libanaise

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Hommes politiques 

Hommes de lettres, journalistes 

Scientifiques 

Hommes d'affaires 

Musiciens, chanteurs 

Sportifs 

Cinéma 

  • Joseph Barbera, réalisateur, producteur, scénariste, compositeur et acteur américain d'origine italo-libanaise

  • Capulina, célèbre acteur et comédien mexicain

  • Youssef Chahine, Réalisateur et acteur égyptien, d'origine libanaise

  • Jamie Farr, acteur américaine

  • Mario Kassar, producteur américain (Rambo 1-2-3, Terminator 2-3, Cliffhanger, Basic Instinct 1-2)

  • Casey Kasem, acteur et producteur américain

  • Arsinée Khanjian, actrice et productrice libano-canadienne (d'origine arménienne)

  • Wentworth Miller, acteur américain(personnage principal dans la série télévisée Prison Break)Sa mère est d'origine syro-libanaise.

  • Kathy Najimy, actrice américaine

  • Harold Ramis, scénariste, réalisateur, producteur et acteur (SOS Fantômes 1-2, Mafia Blues 1-2, Endiablé)

  • Omar Sharif, acteur égyptien, d'origine syro-libanaise (son vrai nom est Michel Shalhoub)

  • Danny Thomas, acteur américain

  • Marlo Thomas, actrice américaine

  • Tony Thomas, producteur américain

  • Salma Hayek, actrice-réalisatrice mexicaine

  • Samia Smith, actrice anglaise article en anglais

  • Shannon Elizabeth, actrice américaine (American Pie 1-2, 13 Fantômes, Scary Movie)

  • Tom Shadyac, réalisateur et producteur américain (Menteur Menteur, Bruce Tout Puissant, Evan Tout Puissant, La Famille Foldingue)

  • Tony Shalhoub, acteur américain

  • Miguel Zacarías, réalisateur mexicain article en espagnol

Avocats 

  • Elie Hatem, Avocat au Barreau de Paris. Avocat du mercenaire Bob Denard

  • Salim Joubran, article en anglais juge israélien, membre de la cour suprême

Stylistes 

Illustrateurs 

  • Edika, Auteur de bandes dessinées humoristiques français d'origine libanaise. Né en Egypte.

  • Grégoire Solotareff, auteur et illustrateur français

Militaires 

Divers 

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